Nous vous proposons une sélection de quatre courts-métrages marocains (1968-2013), présentée par Marie Pierre-Bouthier
Lundi 13 avril 2015 à 20h30
École Normale Supérieure, 45 rue d’Ulm, 75005 Paris (En salle Dussane)
Dans le prolongement de l’année du Maroc, la Semaine Arabe vous propose un programme inédit de quatre courts-métrages documentaires marocains dune grande rareté, unis par une même thématique, la Mémoire, et qui auraient pu faire école sans quelques aléas de l’Histoire.Retour ligne manuel.
Chacun de ces poèmes cinématographiques recompose à sa manière le strict documentaire (scènes de vie, images d’archives, témoignages), par un montage tout en associations libres d’images, de voix, d’objets et de musique. Leur but : donner à voir et à percevoir la mémoire de ce qu’on ne pouvait dire et dont on n’a pas d’images, la vie au Maroc en temps de répression et de dictature.
Au programme :
► 6 et 12, Ahmed Bouanani, M.A Tazi, Majid Rechiche, 1968,
►Mémoire 14, Ahmed Bouanani, 1971,
►Wanted, Ali Essafi, 2011,
►Mémoire anachronique, ou le couscous du vendredi, Asmae el Moudir, 2013,
Marie Pierre-Bouthier est diplômée de l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm en Cinéma et Études arabes, doctorante en Cinéma à l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne (HiCSA), et doctorante associée à l’Institut de Recherche sur le Maghreb Contemporain de Tunis (IRMC). Ses recherches portent sur le cinéma documentaire au Maroc et en Tunisie, en particulier ses enjeux politiques, historiques et mémoriels.
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